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disparaitre page publique
j'ai abandonné les gens j'ai délaisser les gants qui m'attachais a ceux qui sont les plus suspects j'ai raté une bonne moitié de l'invisible qui m'appartenait au profits d'ombre dans le décombres j'ai tout respiré de l'air pur a la plus asphyxier ce n'était juste pour existé je le devait car il y avait dedans des gens triste déséquilibre de dialogue intérieur interminable dualité de l'extrême douce nuit d'étincelle rebelle a l'imagination abandonné au désespoir plus rien a voir plus rien a croire juste des petites passerelles écervelé immense intensité éveillé sur la possessivité rien a y faire ce monde me désespéré sans repère j'étouffe d'air au vents aigris sombre la pluie l'immensité n'est qu'illusion nous sommes des débris de lamentation obnubilé de naïveté désolé et toujours cette route interminable cette même route qui m'entoure et m'encercle d'un parfum de bohème j'ai recherché l'infini des écritures libre maintenant cris et ne reviens jamais cris et disparais existence dans l'insouciance respecté l'inconscience comme sa promise et la démence comme une trahison j'ai parcouru j'ai vu j'ai été déçu d'émerveillement en désenchantement voila ces gens ceux qui prétendent existé pour je ne sait qu'elle déraison impuissant face a l'amertume des sentiments impuissant face a la contrariété des sens de la disproportion de la plume sur le bitume et profondément désespéré de ce silence qui m'entoure d'égoïsme et d'incertitude au mille écrits j'ai décris la facette de chaque moment de l'avant-vie et après avoir déchiré les pages du roman il ne restait plus que des calmants pour compenser l'ouragan la tempête des idées d'habitude comme si j'étais un point fixé quelque part sur un mur sans savoir si je reste ou je part pourtant il me reste la solution des lamentations d'un coeur détruit a présent tout est finis je me noie dans l'infini et au grâce du paradis perdu j'ai retrouvé les détours de chaque contours des formes qui définis la vie c'était elle celle que j'attendais quand tout disparaissait la mort dans l'âme la mort avant la vie est ce déjà ce que j'avais imaginé au futur désenchanté tout reste a espéré qu'un jour je serais libéré d'un touché d'un coup et d'un crie j'atteindrais mon paradis.
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