Dans l'enfer des paradis imaginaire ou l'ont ne respire que de l'air au inspiration désenchanté la pluie meurtrie s'abat sur nos reves comme la nuit endort nos bruits plus de temps plus de sens a l'éveil d'un chatiment qu'ont attends impatiaments et le temps défile devant nos regards impuissants comme le vent emporte nos sentiments et les blessures restent car nous sommes seuls dans cette averse.