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La peur page publique
Que cet arbre ce déssime quand il ne reste que les traces d'un passage d'une lueur qu'ont appel la vie toujours ce matin sans fin la délivrance du chagrin ce destin et puis cet solitude de l'habitude d'etre tout simplement la ici je ne sait parfois ou et l'espoir du soir qui s'en va comme ces au revoir qui ne s'explique pas la seul raison d'etre c'est qu'il n'y en a pas et ce désaroit d'absolue ce fatalisme qui s'installe impunément cet fissure gravé au fond du temps et le silence gagne sur les plaies désèsperément une acalmie et puis le présent lentement ont sépuise vers les tourments et c'est finalement un soulagement.
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