Efleurant avec douceur la brume du jour Tenant dans sa main un bouquet de rose Pour sa merveille et divine amour marchant haletant vers les ecchymoses De la venue du printemps Au plus profond sentiment Désarmé face a sa delicate promise Et ce terrent comme il terrorise Sa muse imparfaite le lessant seul dans sont sommeil Et ce decouvrant en harmonie avec le cieil La déchéance comme pour compagne Il ce desole de voir ce drame Et parcourans les cieux Il en devient amoureux.