 Journal public |
|
| |
comme en amour page publique
Je t'est aimé Tu n'y voyais que le bout de ton nez ignorant même que mon coeur saignait que pour toi Celui-là même que tu ignorait obnubilée par ton ego Pour mieux faire croire a ton public aveuglé par tes maux Ces cris que l'ont dit interdit Tu y choisissait bien tes mots Cela même qui m'ont fait basculer dans un tombeau Remplis d'écrits insondables Je survécu dans l'improbable Tes pleurs et faux sentiments Il est vrait sont devenu châtiment Et tous ces tourments a te voir faire semblants M'ont détourné de ces beau paysages d'entemps J'entends encore ces soit disant cris de fée Comme jadis ont entends le cris des sireines Et j'entends encore cet adolescent Versent naïvement ces larmes de peines,ces larmes de tourment Dans un silence inaudible Dans un silence anonyme Ces même larmes que l'ont pouvait voir autrement Ces même larmes c'était celle d'un enfant A qui tu a brisé le coeur A qui tu a laissé dans cette rancœur Comment aurait t'il pu en être autrement Je me perds a présent Devant tes faux semblant Ces soit disants pleures de d'animal fétide Pour ne pas dire crocodiles Ces même pleurs auxquels tu te pends Il est je crois possibles d'y avoir pensé a temps Il est je crois tant de peines Que je t'est dédié tristement Mais il ne reste que ces larmes ont détruit le coeur d'un enfant
|