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l'adolescence au passé (poème) page publique
Devant l'éclat d'un obscurantisme laisser pour compte Devant cette croix invisible que je nomme liberté accroché a mon désespoir et dans ce noir ou je ne peux plus même m'apercevoir je cherche comme obnubilé l'obscurité de cette même vie que je nomme blessée quand l'innocence a été délaissé pour mieux être achevé quand tout ce que l'ont nommait vie ce finis dans une profonde morbidité dans ce silence qui ronge et détruit dans la peine et le tourment comme a jamais anéantie quand même l'amour ce définit par un ironique discours acide et mélancolique ne reste que des larmes desséché au gout d'amertume le mépris l'injustice et l'indifférence ce traduisant dans leur discours celui au mille promesses j'etait celui qu'ont délaisse des le premier regain d'absence attendant la devant ce miroir sombre reflétant le désert de ma vie harceler par la mort l'AME en pleure n'écoutant que ces cris silencieux abandonné par soit même n'espérant que mes rêves dans l'insomnie l'amour cette illustre inconnue que j'avais toujours aperçu dans le mépris rongé comme une vieille poutrelle qui soutient le toi d'un monde impossible celui de l'attrait pour l'inexistence laisser pour mort a mes propres remord pourtant sans importance et sans en avoir conscience cette ivresse des sens me mènera a la déchéance
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