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elle (poeme) page publique
bleue du ciel c'est perdu en elle
l'orsque le vent a parcourus ces ailes
douce est la nuit quand je pense a elle
triste est la vie quand je suis sans elle
ces yeux sont une aquarelle
ces cheuveux m'enlace a travers elle
ça peau est aussi douce que lune
et ça voie et bien c'est pareil
la couleur de la lune c'est enfuis en elle
je la regarde partir au loin
ma vie est eternelle l'orsque le ciel ce reflete en elle
dans ces yeux je me vois a travers elle
amoureux d'une aquerelle
le soleil a recouvert ces cheuveux
je dort sur la lumiere
la vie est en bleue je la voi comme la mer
partir a travers les courants
chaud et froid rapide et lent les vagues reviennent toujours
c'est comme une ame sans les vagues
je suis un oiseau qui disparait l'orsque les cris apparais
je suis le plus lourd fardeaux l'orsque mes yeux disparaissent
je suis les plumes de la lueur qui penetrent sont coeur
je suis la voix qui lui dit tous bas les mots qu'ont ne pronnocent pas
je suis le chemin qui n'exitais pas
je suis la couleur de la lumiere dans ces air
elle est ma luniere quand tous n'est plus tres clair
elle est mon chemin quand s'engouffrent les refrains
celui du chemin ou ce trouvent les portent
la serrures est fermé je lui donne mes clés
celui de mon bonheur de mon coeur de ma lueur
sans elle cela ne saurais exitez
je vie dans la lune dans une bulle dans la voie lactée
moi c'est neptune et elle c'est la fée
je suis la voie qui mene nulle part dont seul le chemin du hasard nous a fait rencontré
a present c'est beaucoup moins noir tous est eclairé
parcourir toujours sans savoir ou il est
l'amour est invisible il ne cesse d'existé
et je parcours un chemin eternelle celui de l'amour d'une fée
poseidon
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