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ma p'tite Béa. Je n'ai jamais osé lui avouer que je n'avais pas joui. 27/11/2004
J'avais 15 ans et je sortais avec Béatrice, une jolie blonde de 14 ans, chaude comme la braise. Depuis des semaines, on se tripotait dans tous les coins. Rien que des jeux de mains. Un soir, nous nous sommes retrouvés seuls dans la maison des jeunes. D'habitude, nos tête à tête étaient déjà très chauds mais là, dans le noir presque absolu du labo photo, nous étions déchainés, collés l'un à l'autre, langues croisées et à moitié nus. Sa main s'activait et j'allais bientôt partir quand elle m'a dit : "vas-y, viens dedans !" C'était tellement soudain que j'en suis resté pétrifié. Bien-sûr, pour faire le mariolle devant les copains, je me promenais toujours avec quelques préservatifs, comme un blasé de la chose. Tous les mecs font ça. J'en ai enfilé un, tout tremblant et je l'ai pénétrée. Je me suis activé, dur comme un manche de pelle, sans savoir si je lui faisais du bien. Elle était inondée. Au bout d'un moment, elle m'a serré très fort en grognant un peu, puis elle s'est détendue. Moi, que dalle ! Pas moyen de conclure. J'avais mal à force d'être "dur" mais rien ! Après un temps, elle m'a chuchoté : "tu peux venir, tu sais, moi, c'est fait !". Alors, j'ai fait semblant, la rage au coeur, pour ne pas perdre la face. Les fois suivantes se sont très bien passées, mais pour ma première fois, j'ai simulé... parce que je crevais tout simplement de trouille.
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