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Ceci n'est pas un plaidoyé pour la drogue... 24/5/2003
Je dois dire que je suis entièrement d'accord avec l'internaute de la page précédente. Pour moi le drogué n'est pas celui qui use de drogue mais plutôt l'adepte de trop de drogue.
Je voudrais dire que fumer quelques splifs de hashish ne signifie pas toujours que l'on veut fuire une vie dite "trop dure" puisque prendre du plaisir fait tout de même partie de cette vie. C'est vrai, cela ne veut pas indéniablement dire que nous voulons rejoindre un univers d'extase dans le but de nous vider d'une réalité trop cruelle pour que nous puissions l'accepter. De plus, je bannie tout personne qui clame que celui qui use des plaisirs défendus a une prédisposition à ça. .NON. Savourer un beuz de weed c'est simplement profiter du moment où la fumée t'innonde la tête, de l'instant où, enfin, tu abandonnes ta robes de superstitions et de craintes. Partout à travers le monde tu te sens chez toi, puisque tu es en harmonie avec toi-même et le paysage qui t'entoure. La consommation de certaines substances illégales concerne aussi bien celui qui a juste besoin d'oublier un instant (le temps d'un vendredi soir dépressif), que celui qui souhaite fumer le calumé de la paix, seul ou avec les gens qu'il aime, juste parce qu'il se sent heureux et qu'il désire ajouter une petite touche orgasmique (que seules quelques grammes de drogues "douces" peuvent lui donner) à son bien être.
Je tiens tout de même à dire que la dérive étant facile, il est simple de se perdre dans ce flou à la fois si doux et si maléfique du chanvre. Méfiez-vous des démons...les anges ne sont pas toujours ceux que l'on croit...
Je dédie milles baisers à ceux que la drogue a emporté... J'offre mes plus beaux sourirs à T. afin que malgrès tout il garde une belle image du monde qui l'a tué. Que le ciel apaise ton âme et te révèle, enfin, toute ma tendresse oublié... Tu me manques.
Je t'aime.
Jade
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