 Journal public |
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Réconcilliation 27/6/2003
Chère Lou, L'amitiée est comme un ruisseau serpentant dans la plaine de la vie, Sans lui les herbes de la rive n'onduleraient pas de la même façon, Et il manquerait au passage le murmure de ses eaux sur les cailloux polis. C'est u bruissement si léger qu'il n'attire pas l'attention mais dont l'absence résonne comme un profond silence. Parfois une pierre déboule trop vite, ne peut s'arréter et tombe avec fracas. Meurtris, le cour du ruisseau s'interrompt un instant, puis continue sa route. Les mots que j'ai pu dire, les pierres qui t'ont blessées, Je les ais regrettés avant même qu'ils soient lancés. S'il te plait, reviens ! Ne laisse pas le ruisseau se tarir, regarde son sillon, comme il est profond ! Ta dévouée nel.
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