 Journal public |
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... 12/7/2003
Beauté enchanteresse, ta vue engendre toujours une pensée Grâce maladroite, tu es malgré tout incomparable Gentillesse irréductible, partout autour de toi tu apportes la joie La profondeur de ton regard, longtemps m’a semblé impénétrable La douceur de ta peau, ferai fondre les plus dures des pierres
Maladresse quotidienne, mes erreurs souvent blessent Inintéressante personnalité, jamais je n’attirerai Inexpérience perpétuelle, de toi toujours je souffrirai Equilibre instable, je ne trouverai le juste milieu Imbécillité infantile, de ton ombre tu suis ma vie
Comme la petitesse et la grandeur Extrême d’où l’un triomphe et d’où l’autre chute La vie telle une balance choisie le bon pour le faire triompher Et délaisse le mal pour mieux le faire succomber Joie, souffrance, amour…vous qui ont fait l’homme
Un peu plus tous les jours vous le detruisé
Zephyr
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